Premier Plan Algérie, un cinéma à tout cri

Documentaire
    Réalisé par Sihem Merad, Elodie Wattiaux • Écrit par Sihem Merad, Elodie Wattiaux
    France • 2007 • 52 minutes • Mini DV • Couleur
  • N° ISAN :
    non renseigné
Résumé

Le cinéma algérien semble renaître après de longues années de coma. Explorer l'Algérie d'aujourd'hui. À travers différents acteurs participant à la construction d'un nouveau stock d'images et à de nouvelles représentations du pays dévoilant toute la complexité du rapport de l'Algérie avec les images. À travers une configuration de films documentaires et de fictions ancrés dans la société réelle. À travers une Algérie multiple, interrogée par des Algériens d'Algérie, des Algériens de la diaspora mais aussi par des Français liés à ce pays. Au-delà de ce panorama, "Premier Plan Algérie, un cinéma à tout cri" braque ses projecteurs sur une jeunesse dynamique et pleine d'espoir qui oeuvre au retour de la liberté d'expression par le medium cinéma dans un pays en pleine mutation. Cinéma "jdid", "frémissements", "printemps du cinéma algérien" ? Les qualificatifs affluent pour désigner ce nouvel ensemble de productions. Mais quel rôle le cinéma entend-il jouer ? A-t-il vraiment sa place dans la société algérienne ? Silence, ça tourne... malgré tous les obstacles

After long years of coma-like slumber, the Algerian film industry seems to undergo a revival. This film intends to explore today’s Algeria: Through various participants in the construction of renewed footage and of new representations of the country, unveiling Algeria’s complex rapport to images; through a configuration of documentaries and of fiction films anchored in real society; through manifold Algeria, questioned by Algerians from Algeria, by Diaspora Algerians, but also by French people strongly linked to this country. Beyond this overview, "Foreground Algeria, clamoring for a film industry" points spotlights on dynamic young people full of hope, who are striving for freedom of expression to be won back through cinema, in a deeply changing country. Cinema "jdid", "budding", "spring of the Algerian film industry": Numerous expressions apply to this new set of productions. But what kind of part does the film industry want to play? Is there really any space for cinema in the Algerian society? Silence, shoot... despite all obstacles

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