Alamar
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Réalisé par Pedro Gonzalez Rubio • Écrit par Pedro González-Rubio
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Mexique • 2009 • 73 minutes • Vidéo • Couleur
- Réalisation :
Pedro Gonzalez Rubio - Écriture :
Pedro González-Rubio - Image :
Pedro Gonzalez Rubio, David Torres Castillo, Alexis Zabe - Son :
Manuel Carranza - Montage :
Pedro Gonzalez Rubio
- Production (structure) :
Mantarraya Producciones - Ayant droit :
Mantarraya Producciones
- N° ISAN :
non renseigné
Résumé
""Les histoires d’amour finissent mal en général." Entre Jorge et Roberta, ça a été le coup de foudre, l’amour fou, dont il ne reste plus que des photos. Les choix de vie de l’un et de l’autre étaient trop antagonistes, trop exclusifs pour que leur union y résiste. Jorge rêvait de vivre dans la solitude d’un monde sauvage et naturel quand Roberta ne pouvait se passer des lumières de la ville. L’un est reparti vivre au Mexique. L’autre a regagné Rome, avec le fruit de leurs amours : Nathan. Mais avant de se séparer, Roberta et Jorge avaient convenu qu’un jour Nathan partirait vivre quelques mois avec son père. Nathan a cinq ans lorsque son père le conduit dans son domaine, à la fois immense et minuscule, puissant et fragile : une maison lacustre construite sur la barrière de corail de Chinchorro, l’une des plus grandes de la planète. C’est cette parenthèse, éphémère, mais déterminante dans la formation de l’enfant, que relate Alamar. La mer, avec ses merveilles sous-marines, ses humeurs changeantes, est l’autre grand personnage de ce film, que la terre a déserté. Là, Nathan apprend une autre vie, se fait de nouveaux compagnons de jeu ou, à défaut, de route : des iguanes, un crocodile, un ibis... Il n’y apprend pas seulement à pêcher, à vivre de son travail, il y apprend aussi la solitude, l’intensité de l’instant — et la patience, la mère de toutes les vertus." (Yann Lardeau)
""Love stories usually end badly." For Jorge and Roberta, it was love at first sight, a crazy kind of love of which nothing remains but photos. Jorge dreamt of a solitary life in a wild natural world, while Roberta could not live without the city lights. He has gone back to live in Mexico, she has returned to Rome with the fruit of their love, Nathan. But before separating, Roberta and Jorge had agreed that one day Nathan would go and live for a few months with his father. Nathan is five when his father takes him into his universe, which is immense and tiny, powerful and fragile: a house on the edge of the Chinchorro coral reef, one of the biggest on the planet. The film Alamar recounts this brief interlude, which is ephemeral but decisive in the child’s development." (Yann Lardeau)
Sélections et distinctions
- 2010 • Festival Paris Cinéma • Paris (France) • Compétition Internationale
- 2010 • Festival International de San Francisco • San Francisco (États-Unis) • New Directors Award
- 2010 • Festival International du Film de Karlovy Vary • Sélection
- 2010 • Rencontres Cinémaginaire d'Argelès sur Mer • Sélection
- 2010 • Dok Fest • Munich (Allemagne) • Sélection
- 2010 • BAFICI Buenos Aires Festival Internacional de Cine Independiente • Buenos Aires (Argentine) • Sélection
- 2010 • Cinéma du réel • Paris (France) • Compétition Internationale
Comment avoir accès au film ?
- Édition DVD
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Accès VOD
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- Diffusion non commerciale / Consultation