La Vita Alessandrina, avant projet définitif

Une collection de 365 souvenirs personnels – ceux de Stéphane Olry et de la branche orientale de sa famille – rassemblés dans une éphéméride évoquant un monde levantin en voie de disparition. Mais aussi une déambulation à l'intérieur d'une Tour de Babel où seraient rassemblés ces souvenirs, quelque part entre Alexandrie, Beyrouth et Paris. Et encore l'évocation de la destruction, en un sourire de ce Palais de Rêves Orientaux. C'est avant tout l'étonnant pari d'une écriture associant au plus intime, fiction et réalité, entraînant le spectateur dans les territoires foisonnants et labyrinthiques du souvenir.