La Résistance volontaire

Dans  "La résistance volontaire", Patricia Niedzwiecki évoque les propos de témoins extraordinaires, lui confiant leur méthode de survie au principe de l'horreur.
Par quels moyens, du corps et de l'esprit, pouvons-nous surmonter les pires épreuves de la vie ?
Comment nous, les humains, arrivons-nous à surmonter, même l'immonde et l'innommable ?
Avons-nous toutes et tous les moyens de rebondir ?
Quand on est confronté à des situations extrêmes, la résilience s'opère-t-elle naturellement ?
Voici quelques exemples de questionnements auxquels la Vénérable Davina Gelek Drölkar, le Docteur Leistedt, Sarah Goldberg, Léon Rozencwajg,  Regina Sluszny, Carlo Luycks, Willy Bok, et d'autres vont tenter d'apporter leur modeste pierre à l'édifice complexe de l'épanouissement de soi, du dépassement de petites ou de grandes contingences, pour atteindre, comme le chantait Jacques Brel, "l'inaccessible étoile" ?
A partir de vécus réels, et tragiques au départ pour certains, "La résistance volontaire" nous accompagne sur des chemins de traverse salvateurs d'où émerge l'espoir en l'humain, au-delà du pire, tant "la survie est en nous", dixit le résistant Paul Cousseran.  
Ce 7e film signe un tournant dans la succession des précédents opus des "Trous de la mémoire", car il s'attache plus encore à nos vécus contemporains du XXIe siècle, dans le prolongement historique des guerres qui l’ont précédé.
Une recette à plusieurs voix, où, certes, chacun, chacune, trouvera à visionner un élément utile sur la voie de la conscience