Les "rude boys" de Lyon s'identifient à une culture aujourd'hui disparue, celle des délinquants jamaïcains des années soixante. Je porte sur cet univers un regard à la fois intérieur - mon appartenance à la mouvance rude boy - et extérieur - ma volonté d'interroger le phénomène de néo-tribalisme et son rapport à la revendication identitaire.