Adieu la rue des Radiateurs - Nina

Documentaire
    Réalisé par Vladimir Léon • Écrit par Vladimir Léon
    France • 2008 • 37 minutes • DV Cam • Couleur
  • N° ISAN :
    ISAN 0000-0005-1551-0000-C-0000-0000-1
Résumé

L’écrivain Mathieu Riboulet enregistre chez lui une lecture d’extraits de son livre Le Regard de la source.
Dans ce passage, se dessine le portrait d’une femme, "ni amie intime, ni parente, mais assurément un peu de l’une, un peu de l’autre" : Nina.
Les mots lus, pudiques et précieux, évoquent la mort récente de cette femme et l’amitié qui la liait à l’auteur.
Alors, les images du passé surgissent, avec le grain onctueux et fragile d’une vidéo ancienne et renvoient à un hier et un là-bas – Moscou il y a vingt ans – qui semble plus que jamais un monde irrémédiablement perdu.
Derrière la caméra vidéo 8, parfois interpellé alors qu’il filme, un des neveux de Nina : Vladimir Léon, le réalisateur d’Adieu la rue des Radiateurs.

"Nina was a Muscovite. She passed away not long ago. Nina had friends. Some of her oldest comrades were French; Pierre and Vladimir Léon, the writer Mathieu Riboulet. The film-makers recorded snippets of their meetings in Moscow and Paris, sitting around a table, telling jokes and creating memories. Following her death, Riboulet, wrote a piece of prose, what used to be called an elegy, Le Regard de la Source. Today, it is this text, read by the author, that Vladimir Léon has filmed. In close up, the act of reading: the writer’s face, the effort of his voice which follows the inscription. This meticulous recording is blended with old footage; home movies from Radiator Road, when Nina flourished there. Vladimir Léon has accustomed us to his way of recounting history, in particular Communist history. Nissim dit Max and Le Brahamane du Komintern (selected at FID 2003 and 2006) weaving a collective history from the starting point of the idiosyncrasies in personal biographies and individual destinies. For him, collective history begins with its characterisation in the singular. A particularity heightened this time in the bounds of friendship, even if it is clear that Nina was synonymous with Moscow." Jean-Pierre Rehm - FIDMarseille 2008)

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