Que deviendront-ils ? 8e partie
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Réalisé par Michel Fresnel • Écrit par Michel Fresnel
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France • 1991 • 60 minutes • Vidéo • Couleur
- Réalisation :
Michel Fresnel - Écriture :
Michel Fresnel
- Production (structure) :
INA - Institut National de l'Audiovisuel - Coproduction :
Centre audiovisuel de Paris - Diffuseur :
Antenne 2 - Ayant droit :
INA - Institut National de l'Audiovisuel
- N° ISAN :
non renseigné
Résumé
Huitième épisode de la série de Michel Fresnel, Hélène Delebecque et Annie-Claude Elkaïm qui, depuis 1983, ont fait le pari de suivre pendant dix ans des enfants (devenus depuis des adolescents) choisis dans une classe de 6ème du lycée Paul Valery à Paris. Les voici en 1990 à l'âge de 19-20 ans.
Jérôme, cette année, a fait un beau voyage : il est allé à Moscou avec un groupe de jeunes gens de son âge, puis a reçu son correspondant soviétique à Paris. Autre bonne nouvelle : il est amoureux de Lydie, et sa mère le regarde d'un air attendri. Sur le plan scolaire, il connaît enfin le succès et prépare un diplôme de comptabilité, bien qu'il aspire à tout autre métier.
Valérie, elle, a bien changé : elle a abandonné maquillage et bijoux, et s'est trouvé une passion pour la peinture. Elle visite les musées, travaille le dessin et se prépare pour un grand voyage : elle va rejoindre au Brésil son ami Philippe.
Isabelle, la plus jeune du groupe, vit aujourd'hui en Provence depuis le remariage de sa mère. À dix huit ans, elle est en première année de Droit, se dit toujours attachée au judaïsme et partage un appartement avec deux amies étudiantes à Aix-en-Provence. Pendant les vendanges, elle a eu un accident assez grave (elle s'est arraché les orteils dans un fouloir), mais elle garde un moral qui étonne son entourage familial.
Philippe, à vingt et un ans, prépare le brevet des métiers d'art et fait un stage chez un artisan ébéniste. Il est toujours aussi peu expansif, n'a pas d'amis, va au cinéma avec son frère et adore sa solitude.
Florent vit à Nogent-sur-Marne chez ses parents et poursuit ses études de lettres. Dans une séquence filmée qu'il a lui même imaginée, il parle de ce qui lui tient à cœur : la littérature, la musique et l'anarchie.
L'émission se termine par la photo de la classe de sixième en 1983 et est ponctuée de séquences filmées les années précédentes.