Les Fantômes de Chuuk Lagoon - Plongée au coeur d'un cimetière marin
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Réalisé par Catherine Monfajon • Écrit par Catherine Monfajon
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France • 2007 • 52 minutes & 26 minutes • HDCam • Couleur
- Réalisation :
Catherine Monfajon - Écriture :
Catherine Monfajon - Image :
Jean-Christophe Cheneau, Yves Gladu - Montage :
Thierry Massé
- Production (structure) :
Via Découvertes Films - Diffuseur :
France 3 Thalassa, Planète - Ayant droit :
Via Découvertes Films
- N° ISAN :
non renseigné
Résumé
C'est un lieu mythique pour les plongeurs du monde entier : dans le lagon de Chuuk, gît une flotte fantôme japonaise, terrassée par les Américains en deux jours en 1944. Depuis cet épisode considéré comme la revanche de Pearl Harbour, navires, chars, camions, avions semblent comme endormis sous l’eau. Les munitions sont encore rangées dans leurs caisses. Les bouteilles de saké sont intactes. Tout semble miraculeusement préservé des pillages. Mais pour combien de temps ? Ce site historique est menacé. Par la corrosion. Par le pétrole encore à bord des épaves comme par la pêche à la dynamite qui perdure notamment en raison de la misère qui sévit sur cet archipel.
Une mission scientifique australienne tente de préserver cet étrange et fabuleux trésor devenu l’une des rares sources de revenus de cet archipel.
It's a legendary spot for divers from all over the world. In Chuuk Lagoon lies a phantom Japanese fleet, which the Americans destroyed in two days in 1944. Since that event, which was a sort of vengeance for Pearl Harbour, ships, tanks, trucks and planes sleep beneath the waters. The munitions are still in their boxes. There are unbroken bottles of saké. Everything seems to have been miraculously protected from looters, but for how long? This historic site is threatened. By corrosion, by the fuel which is still on board the wrecks, and by the fishing with dynamite which goes on because of the extreme poverty from which this archipelago suffers. An Australian scientific mission is trying to preserve this strange and fabulous treasure, which has become one of the archipelago's few sources of income.