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The Good Wife of Tokyo

Documentaire
    Réalisé par Claire Hunt, Kim Longinotto • Écrit par Claire Hunt, Kim Longinotto
    Royaume-Uni • 1992 • 52 minutes • 16 mm • Couleur
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  • N° ISAN :
    non renseigné
Résumé

Kazuko Hohki retourne au Japon avec son groupe de rock après une absence de quinze ans. Afin de faire plaisir à sa mère, elle décide de se marier selon la pratique du "Foyer du développement", religion suivie par un certain nombre de Japonaises, et dont celle-ci est prêtresse. Car, tandis que le père vaque ailleurs à ses loisirs, danse traditionnelle ou calligraphie, la maison appartient aux femmes que le "Foyer du développement" encourage à prendre confiance en elles et à cultiver leur individualité, par des pratiques comme l'exercice du rire. Le film fait pénétrer dans l'intimité des femmes japonaises, amies, belles-sœurs et adeptes, qui s'expriment sans détours sur la place que la société japonaise leur réserve.

Kazuko Hohki returns to Japan with her rockband after an absence of 15 years. To please her mother, she agrees to get marreid according to the rituals of the "House of Development", a religion of which her mother is prietess. Since while her father attends to his hobbies, traditional. Since while her father attends to his hobbies, traditional dance or calligraphy, the house belongs to the women. The "House of Development" encourages them to gain confidence and develop their individuality, for example through the eraly morning laughter practice. The film enters the intimacy of Japanese women-friends, sister-in-law and followers of the religion express themselves unreservedly on the role accorded to them by Japanese society.

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