Quand je serai dictateur
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Réalisé par Yaël André • Écrit par Yaël André
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Belgique • 2013 • 90 minutes • Super 8 mm & 8 mm • Couleur et Noir & blanc
- Réalisation :
Yaël André - Écriture :
Yaël André - Image :
Didier Guillain - Son :
Julie Brenta, Sabrina Calmels, Frédéric Fichefet - Montage :
Yaël André, Luc Plantier - Voix off :
Laurence Vielle - Musique originale :
Hughes Maréchal - Mixage :
Emmanuel de Boissieu - Étalonnage :
Loup Brenta - Montage son :
Sabrina Calmels
- Production (personne) :
Yaël André, Anne Deligne, Daniel De Valck - Production (structure) :
Morituri Film - Coproduction :
Cobra Films - Diffuseur :
RTBF - Radio Télévision Belge Francophone, ARTE GEIE - Participation :
CBA - Centre de l'Audiovisuel à Bruxelles, Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Communauté française de Belgique - Ayant droit :
Morituri Film
- N° ISAN :
ISAN 0000-0004-4159-0000-C-0000-0000-1
Résumé
Quand je serai dictateur est le projet d'une "non-autobiographie": et si, à l'autre bout de l'univers, naissaient à chaque seconde d'autres mondes contenant d'autres possibilités de nos vies ? Quelles seraient alors toutes ces vies que je n’ai pas vécues ? Aventurière, psychopathe, mère exemplaire, chef comptable, homme invisible ?
Sur ce prétexte fictionnel – qui fonctionne en autant de chapitres que de mondes parallèles –, le film déroule l'air de rien l'histoire de Georges : notre rencontre, sa folie et ce qu'il est probablement devenu dans un autre univers. Car l'enjeu profond du film est la question du deuil : comment se déroule ce souterrain travail ?
À l'image, le film tisse des films amateurs 8 mm et super 8 – des années 40 à aujourd'hui –, emmêlant les fils de la fiction et du documentaire, du vrai et du faux, du mien et de l'autre, de la comédie et du drame...
When I will be dictator is a non-autobiographical project: and if, at the other end of the universe, worlds are being born every second containing other possibilities for our lives? What would all these lives that I haven’t lived be? Adventurer, psychopath, perfect mother, chief accountant, invisible man?
Upon this fictional pretext – which functions in as many chapters as there are parallel worlds – the film nonchalantly unreels the story of George; how we met, his madness and what he probably became in another universe. The deeper issue at stake in the film is mourning, how to deal with this hidden labour.
The images are woven together from amateur 8 mm and Super8 films – from the 1940s to the modern day –, tangling threads of fiction and documentary, the real and the fake, mine and other people's, comedy and drama…
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À propos du film
Sélections et distinctions
- 2015 • Scam • Paris (France) • Étoile de la Scam
- 2014 • FNC - Festival du Nouveau Cinéma • Montréal (Canada) • FNC Lab
- 2014 • International Film Festival Rotterdam (IFFR) • Rotterdam (Pays-Bas) • Sélection
- 2014 • Cinéma du réel • Paris (France) • Compétition Internationale