Résumé

Est-ce une chose douce et tendre, une chose énigmatique, une chose humaine, une chose à nulle autre pareille, une chose fragile ? C’est une chose tissée de mille choses, douces, fragiles, énigmatiques et humaines. Le Journal de septembre est un voyage intérieur qui se déploie jour après jour d’une forme à une autre, glissant peu à peu d’images du quotidien du cinéaste à des séquences plus intimes et plus surréelles.
Dans le Journal de septembre, le réalisateur est plus proche des formes de la poésie que de celles de la nouvelle.
Le développement importe moins que la capture d'instants. Il s'agit donc d'un journal d'impressions plutôt que d'explications, même si Pauwels continue d'utiliser les mêmes matières premières qu'il avait utilisées dans le reste de sa filmographie. C'est ainsi que l'on retrouve le rôle de la peinture, de la musique, de la présence de trains, bien sûr d'amis et de membres de la famille, et de très nombreux objets stockés au fil du temps.

A film made of objects, faces and texts; of lost cats, of found pictures, cut-outs, recreations; a poetic subversion in diary form, one that breaks the calendar into a novel, driving relentlessly as a journey to the end of the world. A joyful celebration of life and the inexhaustible desire to make films by a major figure in European film-essay. (GGP)

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