Laurel Canyon, la légende pop-rock d'Hollywood - 2. La Fin des illusions
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Réalisé par Alison Ellwood • Écrit par Alison Ellwood
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États-Unis • 2020 • 79 minutes • Couleur et Noir & Blanc
- Réalisation :
Alison Ellwood - Écriture :
Alison Ellwood - Image :
Samuel Painter - Son :
Ryan Agostino, Lee Frank, Paul Green, John Hollis, Brian Lahiere, Karl Lohninger, Paul Losada, David Mitlyng, Colt Pope, Saul Rouda, William Stefanacci, Tom Tierney, Erik Toms, Philip Turner - Montage :
Anoosh Tertzakian, Sam Stewart
- Production (structure) :
The Kennedy/Marshall Company - Coproduction :
Jigsaw Productions, Amblin, Warner Music Entertainment, Epix - Ayant droit :
The Kennedy/Marshall Company
- N° ISAN :
non renseigné
Résumé
La petite communauté apolitique s’est réveillée sous l’impulsion du morceau For What it’s Worth, de Buffalo Springfield. Désormais, rien n’empêche les grandes tragédies américaines de percer la bulle protectrice de Laurel Canyon. Woodstock s’est éteint sous les accents rageurs et antiguerre de l’hymne américain interprété par Jimi Hendrix. Surtout, plus haut dans les collines, un gourou magnétique règne sur une autre communauté : "La famille" de Charles Manson. Les hippies sont désormais assimilés par une large part de l’opinion publique, terrifiée par l’usage des drogues dures, à de potentiels meurtriers. Les Rolling Stones organisent alors à Altamont un festival qui restera tristement célèbre, signant définitivement la fin des années 1960 et de leur pacifisme.
The Doors, Joni Mitchell, The Byrds, Crosby, Stills, Nash and Young, Buffalo Springfield, The Mamas and the Papas, Franck Zappa en étrange figure tutélaire... Outre le talent, le point commun qui réunit ces grandes figures de la musique et du flower power est le creuset de Laurel Canyon, parenthèse enchantée, parfait contre-modèle pour les aspirations hippies d’une jeunesse à la recherche de son indépendance. La réalisatrice Alison Ellwood met en lumière ce microcosme protégé constitué par de très jeunes hommes et femmes : une communauté heureuse, où le sexe, la drogue ("pas de la drogue, un sacrement", selon le mot fameux de Ray Manzarek, claviériste des Doors) et le rock’n’roll ne carburent pas encore au désespoir ou à la rage. Dans un pays déchiré par les violences raciales et la guerre du Viêtnam, le réveil sera brutal. Avec, entre autres les témoignages de Joni Mitchell, Neil Young et David Crosby, ou encore des photographes Nurit Wilde et Henry Diltz, grands passeurs, à travers leurs images, de ces années de bohème immortelle.
With hard drugs, bigger paychecks, and the Manson murders, the once neighborly music scene began to shift. In spite of it all, a new wave of troubadours came in and continued to captivate those beyond their rustic home.
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