Henri Cartier-Bresson - L'Amour tout court

Documentaire
    Réalisé par Raphaël O'Byrne • Écrit par José Chidlovsky, Raphaël O'Byrne
    France • 2001 • 70 minutes • Beta numérique
  • N° ISAN :
    ISAN 0000-0005-19BA-0000-W-0000-0000-F
Résumé

Henri Cartier-Bresson confie volontiers qu'il n'a rien à dire de plus que ce que ses photos expriment. Ses photos sont donc au cœur du film, prises sous le regard croisé de ses souvenirs et de son ami, le poète Yves Bonnefoy.
Cartier-Bresson évoque également ses cheminements, parle du rôle important de la peinture ou de la géographie dans son œuvre. Il nous transporte dans l'univers de certains de ses amis artistes, dont les œuvres sont, pour lui, des repères, des influences ou des références.
Ainsi, retrouvons-nous en Géorgie le photographe Klavdij Sluban qui anime un atelier de photos dans une prison pour jeunes détenus, de même qu'il conduisit à plusieurs reprises, avec Henri Cartier-Bresson, un travail avec des détenus de la prison de Fleury-Mérogis.
Nous visitons l'atelier du peintre Avigdor Arika pour qui un tableau se déguste comme un bon vin. Henri Cartier-Bresson se consacre d'ailleurs désormais principalement à la peinture et au dessin.
Nous nous rendons aussi sur le tournage du prochain film du réalisateur Otar Iosseliani qui met en scène depuis toujours les jeux du hasard et de la destinée.
Nous entendons le violoncelliste Paolo Beschi et ses élèves aux prises avec Jean-Sébastien Bach.

Henri Cartier-Bresson willingly confides that he has nothing more to say than what his photographs express. His photos therefore are at the heart of this film, examined in the light of his memories and his friend, the poet Yves Bonnefoy.
Cartier-Bresson also evokes the road he has travelled, speaks about the important role of painting or geography in his work. He transports us to the world of some of his artist friends, whose works, for him, are landmarks, influences or references.
Thus in Georgia we find the photographer Klavdij Sluban who runs a photography workshop in a prison for young offenders, just as, on several occasions, he led with Henri Cartier-Bresson some work with convicts in the prison at Fleury-Mérogis.
We visit the workshop of the painter Avigdor Arika for whom a painting is to be savoured like a good wine. Henri Cartier-Bresson in fact now devotes himself mainly to painting and drawing.
We also go to the shooting of the next film by producer Otar Iosseliani who has always directed films about games of chance and destiny.
We hear the cellist Paolo Beschi and his pupils working on Johann Sebastian Bach.

Collection
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