Au gré des transferts vers un club de formation mieux nanti ou au contraire des mises à pied, heurts et malheurs de trois jeunes footballeurs à Abidjan : Isidore, Bakari et Davila. Entraîneurs et familles vivent au rythme de l’espoir suscité par l’enfant. Il est leur "devant". Les réseaux Nord/Sud qui drainent du "bétail de tournoi" avec la complicité d’agents et de parents peu scrupuleux font les choux gras des médias. Mais il existe en Afrique une manière d’utiliser les transferts et les règles ...