On a voulu faire un film sur ceux qui restent debout dans un monde qui se délite. Mais voici que quelques jours plus tard, ce monde est saisi par un même mot. C’est alors que tout s’inverse.
Vidange des fluides, rêveries, décomposition d’une voiture à l’arrêt.
Ici le huis clos du confinement, là-bas les cendres de la révolution. Je m’adresse à un ami de l’autre côté de la Méditerranée.
Je revenais comme quelqu’un d’autre, j’étais plus de là-bas. Combien sommes-nous ?