mathilde capone

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mathilde capone vit et travaille à Montréal / Tiohtiá:ke. Cinéaste, travailleur·euse autonome et animateur·trice en éducation populaire, iel cherche à façonner d’autres possibles en donnant la parole à des communautés marginalisées et en créant des outils d’éducation et d’émancipation. À travers sa maîtrise en anthropologie sociale à l’Université de Montréal, iel a documenté la résistance des Ilnu·es de Pessamit face aux violences systémiques et a réalisé avec elleux un film, Paroles d'Ilnu·es.

Dans le projet Des-terres-minées, iel a co-réalisé 30 courts-métrages donnant la parole à des femmes autochtones et allochtones au "Québec" autour de leurs visions du territoire. Militant·e féministe, anticolonial·e, lesbienne et queer, passionné·e de recherche, iel est impliqué·e dans diverses initiatives collectives qui donnent matière à penser et à transformer.

Son long-métrage documentaire La Fabrique du consentement : regards lesbo-queer, réalisé de manière indépendante avec peu de financement, a notamment été présenté aux Rendez-Vous Québec Cinéma en 2021.

Éviction, son deuxième long-métrage qui retrace l'expulsion d'un collectif queer d'habitation, a été dévoilé aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal en 2023 et a reçu le Prix du public. La Maison des rebelles, qui suit l'ouverture de la première maison de retraite lesbienne à Montréal / Tiohtià:ke, est son prochain film.

(Source : mathilde capone. Notice biographique mise à jour en juin 2024).

Filmographie