"Histoire de mes cheveux se terminait par un plan où je me trouvais enfermé dans un camp de concentration. J’avais déclaré peu avant que j’étais content d’être enfin arrivé chez moi. Un chant d’espoir cependant résonnait avec un happy end fantasmé (baiser hollywoodien) et une chanson qui annonçait le printemps. En réalité le film ne se terminait pas là. Il y avait une deuxième partie à cette histoire. La première raconte le chemin du condamné, la deuxième celui du rescapé. Et donc le film devait ...