Ce film "anti-documentaire" raconte les aventures de Guy Debord et ses amis dans le Paris bohémien des années cinquante. Produit par le peintre Asger Jorn, il fait le bilan des expériences des internationales lettristes à l’orée de la création de l’internationale situationniste. La caméra alterne plans vagues et vues en extérieurs où l’évitement systématique de tout élément "digne d’intérêt" crée une sensation de malaise renforcée par des commentaires volontairement "ineptes".