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Bojena Horackova

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Née en 1964 en Bulgarie, la réalisatrice et actrice Bojena Horackova a vécu en République tchèque avant de s’installer à Paris. Son premier long-métrage, Mirek n’est pas partie (1995), a porté sur un groupe de Tchèques vivant dans la capitale française. Après Fermeture définitive du kolkhoze 50, documentaire réalisé grâce à une bourse Villa Médicis Hors les Murs en Bulgarie en 2000, son deuxième long-métrage, À l’Est de moi (2009), retrace le voyage d’une femme à travers l’ex-URSS, dont elle tire également un essai radiophonique, À Moscou… à Moscou…, diffusé par France Culture. On a pu la voir également en tant qu’actrice dans plusieurs films, notamment Bonne Nouvelle (2001), et Mon voyage d’hiver (2003) de Vincent Dieutre.

(source : Institut Français)

Filmographie

Filtrer les résultats : 3 film(s)

Fukushima no ato 1

    Bojena Horackova • France • 2017 • 17 minutes • Couleur

Deux journées avec Atsunobu Katagiri, maitre Ikebana. Une journée à Kyoto et une autre journée dans le cercle interdit autour de la centrale nucléaire Fukushima Daiichi.

Fermeture définitive du kolkhoze

    Bojena Horackova • France • 2004 • 58 minutes • DV Cam • Couleur• VOD

Un film comme un carnet de voyage, à la découverte d'un pays que la réalisatrice ne connaît pas, mais qui lui parle d'elle, de sa mère qu'elle ne reverra plus après son départ pour la France. Mais ceux qui connaissent sa mère ne sont plus à Cerova Koria depuis longtemps. Entre temps, il y a eu la fin du communisme, la fermeture du kolkhoze, plusieurs gouvernements se sont succédés... De ce récit à la première personne émergent les traits d'une Bulgarie post-communiste.

Vilnius, loin d'ici

    Bojena Horackova • France • 2001 • 18 minutes • Couleur

Depuis que j’ai pu retourner à Prague, j’ai fait plusieurs "retours" à l’Est : en Bulgarie, en République tchèque, en Lituanie. En réalité, cela m’a pris plusieurs années, des allers et venues plus ou moins espacés, mais, dans ma tête, l’Est était toujours présent : ce que j’y ai vécu, pourquoi j’étais partie de là-bas et, surtout, pourquoi y retourner maintenant. J’écris à un ami de Vilnius : il y avait une impossibilité pour moi de séjourner là-bas, j’avais commencé à y retrouver quelque chose, ...
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