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Aïssata Ouarma

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Aïssata Ouarma est une réalisatrice burkinabè. Elle commence à s'intéresser à l’écriture de scénario documentaire alors qu'elle passe une maîtrise dans la filière AGAC (Art, Gestion et Administration Culturelle), option Art Dramatique à l’université de Ouagadougou.

En tant de réalisatrice, elle a signé Le Silence des autres sorti en 2011, Foo ni marm en 2013 et The Rose en 2014.

En 2015, elle réalise Je danse, donc je suis qui remporte le Prix du Meilleur documentaire au FESPACO - Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou.

(Source : Tënk)

Filmographie

Filtrer les résultats : 4 film(s)

Les Silences de Lydie

    Aïssata Ouarma • France, Burkina Faso • 2017 • 52 minutes • HD • Couleur• VOD

Lydie est une jeune fille de 17 ans. Débrouille et fugues à répétition depuis son plus jeune âge, sont le quotidien de cette adolescente. Au cours de l’une d’entre elles, elle fait la connaissance d’une camarade sourde-muette. A ses côtés, elle apprendra à survivre dans la rue et ira même jusqu’à simuler une sourde muette dans une famille d’accueil pendant 9 mois. Ce film raconte la quête d’identité de Lydie à travers les relations conflictuelles avec sa mère, ses absences et ses tentatives de retour ...

Djigui

    Aïssata Ouarma • France, Burkina Faso • 2015 • 15 minutes • DV Cam • Couleur

Depuis longtemps, Aissata, la cinéaste, est en froid avec son frère. De retour dans la maison familiale, elle évoque leurs problèmes relationnels et défend la volonté d'unir sa famille, à commencer par ses nièces, qui, comme souvent à l'adolescence, ont tendance à se disputer.

Mr Balaya

    Delphine Yerbanga • Burkina Faso, France • 2015 • 12 minutes • DV Cam • Couleur

Suite à un accident, M. Bayala a perdu son emploi de professeur d'université. Il doit se battre au quotidien pour subvenir aux besoins de sa famille.

Le Silence des autres

    Aïssata Ouarma • Burkina Faso • 2011 • 26 minutes • HDV • Couleur et Noir & Blanc

Ce film aborde de manière originale et poignante le phénomène de l’exode des filles mineures à Ouagadougou. La réalisatrice donne de la voix au silence de ces filles de ménage appelées aussi "bonnes", victimes de leur quête de bien-être. Entre espérance légitime et impatience craintive de leur parents restés dans le petit village de Loroni, elle nous plonge dans la quotidienneté de ses filles.
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