TMS/Solaris München

Ayant droit
Production (structure)

Filmographie

Filtrer les résultats : 4 film(s)

Penthesilea

Hans Jürgen Syberberg • France • 1988 • 129 minutes

"Penthesilea" de Kleist est certainement l'une des pièces les plus extraordinaires du répertoire dramatique allemand. Il y est question de la passion sauvage et destructrice qui saisit la reine des Amazones et Achille, le héros grec, sous les murs de Troie. Révulsé par sa violence et son étrangeté – ce n'est qu'au XXe siècle qu'on prit la mesure de cette œuvre –, Goethe s'en effraya et la condamna. Edith Clever donne ici corps à toute la puissance de ce texte enfiévré.

Hitler, un film d'Allemagne

Hans Jürgen Syberberg • France, Allemagne, Royaume-Uni • 1978 • 430 minutes • 35 mm • Couleur

1. Le Graal (96') "Au commencement... l’image du paradis de Louis II de la résidence de Munich. Un narrateur parle des trente héritiers qui ont des prétentions légales à la paternité d’Hitler, et explique que tous les personnages du film sont fictionnels, librement inventés, toute ressemblance avec des personnes vivantes ou mortes étant pure coïncidence. Nous sommes donc libres de construire notre propre monde..." 2. Un rêve allemand (132') "Eisenstein fait part de ses pensées sur la guerre et ...

Theodor Hierneis ou le cuisinier de Ludwig

Hans Jürgen Syberberg • Allemagne • 1974 • 90 minutes

Theodor Hierneis était le cuisinier à la cour de Louis II. Le film est un monologue ininterrompu d’Hierneis, qui guide la caméra et le spectateur à travers les palais et résidences du roi, à la manière des visites commentées de belles demeures que nous avons tous dû souffrir un jour, mais avec quelques différences significatives. Le cuisinier, ou l’acteur jouant le cuisinier, commence son monologue à la troisième personne, pour mieux entrer par la suite dans le rôle et le "je" du cuisinier, rapportant ...

Ludwig. Requiem pour un roi vierge

Hans Jürgen Syberberg • Allemagne • 1972 • 134 minutes

Si je choisis de qualifier mon film de "requiem", ce n’est pas seulement que je souhaite dédier une épitaphe à un roi mort, quelle que soit la place occupée aujourd’hui encore par Louis II dans l’imaginaire populaire. Le "requiem" fait plutôt référence à un système esthétique fermé, proche de la musique et des formes musicales, et à mon idée du "film comme musique de l’avenir". L’intention était de rompre avec la perception habituelle du cinéma, le film de dialogues et d’action, les techniques d’un ...

Imprimer

Ajouter aux favoris