"À son ouverture en 1983, Ignalina était la centrale nucléaire la plus puissante de la planète et peut-être le dernier geste mégalomane de l'univers socialiste. En Lituanie, appartenant à l'Union soviétique, elle alimentait une grande partie de sa région nord-ouest jusqu'à Moscou. Trois ans plus tard, la catastrophe de Tchernobyl a révélé la fragilité du système communiste, mais aussi le danger bien réel de l'énergie nucléaire auquel le monde devait faire face urgemment. Le désastre accéléra le ...
Pas de résumé français disponible.
Art et politique, Lituanie et Amérique latine, mère irrévérencieuse et fils activiste. La trajectoire unique d’Antanas Mockus, ancien candidat à la présidence de la Colombie, n’aurait pas été possible sans les conseils visionnaires de sa mère, l’artiste nonagénaire Nijole Sivickas. Ensemble, ils entament un voyage intime autour d’une redécouverte mutuelle et nous donnent une leçon vitale de courage et de vulnérabilité.
Joseph peint la terre et le ciel sans autre ambition que d’observer et de rendre compte de la structure du paysage. Timidement, la réalisatrice accompagne son père dans son travail et l’espace si particulier qui l’entoure. Leur dialogue, parfois maladroit et empreint de pudeur, se noue non pas dans la parole mais dans l’échange d’un regard tourné vers ce paysage désertique. C’est ici, face à ce bout de terre et de ciel, qu’ils parviennent à se parler. À leur façon.
Vidas Zenonas Antonovas a sa place dans l’histoire des criminels les plus intéressants de l’Union Soviétique. Mieux connu comme "Le père de la Mafia", il a, entre autres, volé un million de roubles à l’Etat, détourné un avion et ses passagers, passé 20 ans en prison. Aujourd’hui, à 71 ans, il vit au sein d’une grande famille faite de 10 enfants, 2 neveux et un nouveau-né. Le portrait d’un personnage explosif.
"Faire cette révolution avait l’air aussi simple que de tomber amoureux" raconte la réalisatrice après la rencontre avec les porte-drapeaux de l’indépendance de la Lituanie en 1987-1991. Comme les sages le disent, l’humour est l’arme la plus puissante contre n’importe quel système qui s’appuie sur l’humiliation et la peur. Vaclav Havel pense même que l’Union Soviétique a été détruite, non pas par les dissidents, mais plutôt "par les jeans et la musique rock." Ajoutez à cela de l’humour et un show ...