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Filmographie

Filtrer les résultats : 4 film(s)

Moulinsart-Hollywood, Tintin et le cinéma

    Benoît Peeters, Wilbur Leguebe • France • 1995 • 52 minutes • Couleur

Benoît Peeters est un des spécialistes de l'œuvre d'Hergé. On lui doit une excellente biographie, Hergé, fils de Tintin (2002) et une fine analyse de l'album Les Bijoux de la Castafiore (Lire Tintin, les bijoux ravis, éd. Les Impressions nouvelles). Ce documentaire, coréalisé avec Wilbur Leguèbe, se présente comme une enquête sur les rendez-vous souvent manqués de Tintin et du cinéma. On passe des "films fixes" des années trente au projet de Spielberg, d'un film de poupées de 1947 à plusieurs séries ...

Élie Faure ou l'esprit des formes

    François Porcile • France • 1973 • 15 minutes • 35 mm • Couleur et Noir & Blanc

Portrait d'Elie Faure et introduction à son esthétique, à travers des extraits de ses textes et un musée imaginaire rapprochant les plus belles œuvres de l'histoire humaine (sculpture, peinture, architecture).

Vaudou, entre vivants et morts, le sang

    Jean-Luc Magneron • France • 1972 • 100 minutes • 35 mm • Couleur

Document exceptionnel sur les rites d’initiation au culte Vaudou, tourné au Dahomey en Mars 1972. Le vrai Vaudou en effet, n’est plus situé ni en Haïti, ni au Brésil, comme le croient la plupart des gens, mais au Dahomey, dans l’ancien royaume du Bénin. Vaudou, entre vivants et morts, le sang est un documentaire, mais surtout un spectacle. Le Vaudou est un phénomène extraordinairement spectaculaire qui recèle en lui-même toutes les recettes commerciales : il y a du sang, du sexe, de la violence, ...

Les Ponts sur la Meuse

    Paul Schuitema • Pays-Bas • 1937 • 14 minutes • 16 mm • Noir & Blanc

"Paul Schuitema était photographe, graphiste et enseignant à l’Académie des Beaux Arts de La Haye. En 1932, il a commencé à filmer les ponts sur la Meuse à Rotterdam. Comme Joris Ivens dans Le Pont, Schuitema utilise la composition de l’image et les mouvements à l’intérieur de l’image – du pont, des cyclistes, des voitures, des trains – pour rythmer son film. Mais son style de montage s’inscrit plutôt dans le mouvement de la Nouvelle Objectivité. Le compositeur Koos van de Griend avait toute liberté ...
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